Présentation et histoire

Depuis 1998, les ateliers d’écrivain·es du PJE sont une occasion unique de vivre la création littéraire sous toutes ses formes. Des écrivain·es renommé·es, familier·es du livre et du monde de l’édition, encadrent les ateliers dont les thèmes se renouvellent chaque année. Accompagné·es par un·e écrivain·e, les stagiaires travaillent à leur rythme, se confrontent à la langue en expérimentant outils, techniques et écritures diverses. Iels déploient leur imaginaire et se familiarisent avec les règles et pratiques de l’écriture fictionnelle d’aujourd’hui.

/!\ En 2024, le PJE renouvelle la formule de ses ateliers : plus condensée, plus originale et moins chère

Les nouveaux ateliers d’écriture du PJE visent à créer une ambiance à la fois conviviale et productive en rassemblant stagiaires et écrivain·es dans un même lieu, sur la totalité d’un week-end. Logé·e dans un gîte de charme, vous pourrez échanger avec l’auteur·ice de manière personnelle, tout en travaillant sur votre texte dans une atmosphère propice à la circulation des idées.

Chaque atelier accueille 8 à 10 participant·es au maximum, en présentiel. La cohésion de groupe, qui s’opère entre passionné·es d’écriture, stimule la créativité.

Programme des ateliers 2024 ICI.

Témoignages d’une expérience unique !

« Dix ans que je reviens chaque été aux ateliers d’écriture du PJE, pourquoi ? Est-ce une addiction ? Pour moi les ateliers d’écriture du PJE sont un entraînement, une gymnastique, quarante longueurs de piscine olympique, une immersion totale et collective dans l’écriture. Finalement, il s’agit bien d’une addiction. »
Jean

« J’ai toujours écrit en solitaire, sans revenir sur mes textes, et les ateliers m’ont amenée à prendre conscience du travail d’écriture. Les échanges avec les participants apportent des points de vue différents sur chaque texte et permettent de progresser dans une ambiance bienveillante et sympathique. »
« Soha

« J’étais inscrit dans les ateliers d’Alain Absire avec comme thème « L’homme ou la femme que vous auriez aimé être » et la deuxième semaine dans celui de Seyhmus Dagtekin sur « L’état simple de l’amour ».
J’ai beaucoup aimé les deux, c’était différent. J’ai passé à Muret deux des plus belles semaines de ma vie.
J’étais logé avec dix stagiaires québécois, suisses et français. Cela a été un beau partage humain et littéraire, de belles rencontres entre les cultures et les générations. »
Arthur Brugger (Suisse)

« En plus des rencontres agréables et des nouveaux amis, cette expérience m’a été très utile en ce qu’elle m’a donné confiance en mes moyens, qui m’a permis de me questionner sur les usages différents de la langue en France et au Québec et a confirmé ma conviction que les particularités du français québécois méritent d’être valorisées plutôt que gommées. L’occasion de me mettre au travail de manière intensive dans un contexte stimulant et de sans cesse retravailler mes textes. »
Félix-Antoine Lorrain (Québec)

« L’atelier m’a surtout procuré du temps (denrée rare) et un environnement stimulant pour écrire.
C’était si différent ces jours bienheureux où, blottie à l’ombre bienveillante des écrivains ateliéristes, dissimulée sous l’incroyable talent de vos compagnons d’ateliers, vous filez doux le bonheur d’écrire, d’écouter et de dire votre texte, la voix tremblante d’émotion d’abord et d’amour ensuite.
Et alors, vous croisez le regard de ces gens qui ont partagé avec vous la folie d’écrire et de lire. »
Lydiane Tsague Tsayem (Cameroun)

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